[Debrief Transat] Prenons un peu de recul sur le sommet de l’IA de Paris | Monde Numérique – Podcast

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  • mars 9, 2025
  • 17 min read
[Debrief Transat] Prenons un peu de recul sur le sommet de l’IA de Paris | Monde Numérique – Podcast


Bruno :
[0:04] Le débrief transatlantique. Jérômea Colombin à Paris, bonjour.

Jérôme :
[0:08] Bruno Guglielminetti à Montréal, salut. Alors, il paraît que vous êtes sous la neige.

Bruno :
[0:13] Écoute, je suis content que tu aies regardé ce qu’il faisait comme temps au Québec parce qu’effectivement, on a une bonne bordée de neige qui vient de notre côté. Mais bon, il ne faut pas se plaindre. C’est l’hiver, on est au Québec.

Jérôme :
[0:23] C’est naturel. Vous, l’hiver, c’est quoi? C’est 4 mètres de neige?

Bruno :
[0:27] Facile, facile. Mais pendant ce temps-là, pendant que moi, je suis en train d’envisager ma pète, toi, tu t’es baladé cette semaine un peu partout à travers Paris pour couvrir le sommet de l’IA?

Jérôme :
[0:43] Oui, alors il n’y avait pas de neige, il faisait un temps pourri, c’est Paris, malgré tout.

Bruno :
[0:48] Vous étiez pas mal à l’intérieur.

Jérôme :
[0:49] On était bien à l’intérieur, d’autant plus que c’était au Grand Palais, qui est quand même un endroit absolument magnifique en plein cœur de Paris. C’est vrai que c’est extraordinaire. Donc, pour ce sommet de l’IA, le fameux sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle et qu’effectivement, j’ai eu la chance de suivre d’assez près. Je veux que je te raconte ?

Bruno :
[1:08] Oui, mais avant, je veux que tu t’autoscoopes. C’est une réussite ou pas ?

Jérôme :
[1:14] Ça, c’est la question à 1 000 euros.

Bruno :
[1:17] J’ai les moyens,

Jérôme :
[1:18] alors je ne sais pas. Je dirais que c’est quelque chose qui compte et qui pourrait compter pour le futur, oui. Enfin bon, on ne sait pas non plus. C’est important que ça ait eu lieu, ça s’est plutôt bien passé et il en ressort quelques petites choses intéressantes.

Bruno :
[1:32] Qu’est-ce que tu retiens de ces choses intéressantes-là?

Jérôme :
[1:36] Je retiens, pour moi, ça a été un peu l’occasion, comme c’était très international, avec l’Inde qui était co-organisatrice, les États-Unis qui étaient là, la Chine qui était là, ce qui, d’ailleurs, a posé quelques problèmes. Il y avait des tensions un peu diplomatiques. Et puis, même d’autres pays, de ce qu’on appelle le sud global, il y avait des pays africains, etc. Du coup…

Bruno :
[2:00] On ne peut pas mentionner le Canada, mais on était là.

Jérôme :
[2:02] Et absolument, bien sûr, le Canada qui a été cité plusieurs fois, pardon, en effet.

Bruno :
[2:06] Oui, plus qu’apparemment, ils ont été cités plusieurs fois.

Jérôme :
[2:09] Oui, oui, non, le Canada est en première ligne, le Canada qui va investir en Europe et en France.

Bruno :
[2:14] Oui, une fortune, ben oui.

Jérôme :
[2:15] Ben oui, exactement. 50 milliards, c’est ça. 20 milliards, je ne sais plus.

Bruno :
[2:21] Oui, c’est ça.

Jérôme :
[2:22] C’est 20 milliards. Oui, c’est assez énorme. L’intérêt, c’était qu’on mette tout sur la table, que tous ces pays se parlent, échangent un peu leur point de vue, leur vision de l’intelligence, artificielle et qu’on sache un peu dans quelle direction on peut aller. Alors, ça ne veut pas dire que tout le monde est d’accord et on s’aperçoit qu’il y a quand même des lignes de fracture. Tu as quand même Toujours sans surprise, les États-Unis qui, par exemple, n’ont pas voulu signer l’accord. Il y a eu une déclaration pour, je cite, une IA ouverte, inclusive et éthique. Presque tous les pays ont signé, dont la France, l’Inde et la Chine, mais pas les États-Unis, pas la Grande-Bretagne. Pourquoi ? Parce que les États-Unis trouvent qu’il y a trop de régulations en Europe, notamment, donc ils ne veulent pas s’associer à ça. La Grande-Bretagne fait pareil. et puis, encore une fois, il y avait la présence des Chinois qui vraiment gênait les Américains, on le voit bien, et c’est sans doute pour ça d’ailleurs que d’autres responsables américains ne sont pas venus.

Jérôme :
[3:21] Mais voilà, et après, il y a eu des choses concrètes, enfin en tout cas, on espère qu’elles se concrétiseront puisqu’il y a eu pas mal d’annonces, 109 milliards pour construire des data centers en France, 200 milliards au niveau européen pour développer des projets autour de l’IA, Voilà, c’est malgré tout du concret, ou en tout cas des promesses de choses concrètes.

Bruno :
[3:43] Ça, c’est ce qui se passait et ce qui a été annoncé dans le Grand Palais. Mais il y avait aussi cette journée un peu magique qui était toujours dans le cadre du sommet, mais qui s’est passée à la station F. J’avais l’impression de revivre la belle époque du début de la French Tech avec les images que je voyais.

Jérôme :
[3:59] Oui, c’est exactement ça. Et là, en plus, ce qui est drôle, c’est qu’il y a vraiment un contraste, en fait. Le Grand Palais, c’était très institutionnel et c’était très fermé. Et ce qui d’ailleurs était un problème, parce qu’il n’y avait pas beaucoup de monde. Alors, ce n’était pas un problème quand on y était, parce que c’était même très agréable. Contrairement à un salon où il y a trop de monde. Eh bien là, c’était formidable parce qu’on ne se bousculait pas.

Bruno :
[4:21] Pas de la place, oui.

Jérôme :
[4:22] Et puis, on voyait très facilement les gens et on tombait par hasard comme ça.

Bruno :
[4:28] On avait bien un accès assez facile.

Jérôme :
[4:29] Oui, exactement. on tombait facilement sur des gens importants tu vois, j’ai croisé Xavier Niel en descendant un escalier, on a fait un bout d’interview, j’ai croisé 2-3 pointures de l’intelligence artificielle que d’ailleurs j’ai interviewé pour mon podcast.

Jérôme :
[4:43] Voilà, donc ça c’était bien mais le problème de ça, là je te parle du Grand Palais toujours après je te parlerai de Station F le problème de ça c’est que et puis c’était sous très haute surveillance policière parce qu’il y avait des chefs d’état il y a Emmanuel Macron qui est venu faire un discours etc. Il y avait le vice-président américain, il y avait le premier ministre indien, et à la fois pour des raisons de sécurité peut-être, mais ça donnait un petit côté entre soi, et ce n’était pas une très bonne image, je trouve, pour l’intelligence artificielle, ça manquait un peu d’ouverture vers les vrais gens, en fait. Il aurait fallu quand même que les gens puissent accéder au moins à un espace

Jérôme :
[5:23] d’exposition, quelque chose comme ça. Et puis à l’inverse, Station F, c’était le lendemain, on n’était plus vraiment dans le sommet, c’était un peu la suite, c’était les prolongements pour parler business, c’était donc une journée spéciale business, et alors là, c’était… L’inverse, c’est-à-dire que c’était la couille, on s’est marché dessus, on mettait deux heures pour entrer, les pauvres étaient complètement débordés par l’afflux de monde, c’était monstrueux, et sans surprise, il était plus difficile de parler aux gens, enfin, paradoxalement, parce qu’on ne savait plus trop qui était qui, et il y avait vraiment trop de monde. Et là, c’était très plus commercial. C’était des startups qui se montraient, etc. Où il n’y a pas vraiment eu d’annonce, mais c’était important au niveau business. Et il y a sans doute peut-être des contacts importants qui se sont faits entre tous ces gens-là, en fait.

Bruno :
[6:13] Jérôme, si tu regardes, le lendemain par la suite, il y a eu aussi des discussions plus scientifiques par des gens qui ont vraiment les mains dans le cambouis. Mais quand tu prends un recul par rapport à cette semaine-là, Est-ce que tu dirais que, puis tu le disais, la réussite est teintée, l’accord n’a pas été signé par tout le monde, mais somme toute, est-ce que c’était une opération qui en valait la peine?

Jérôme :
[6:38] Oui, encore une fois, je pense que oui. Pourquoi ? Parce que l’accord, c’est un accord de principe. Les investissements, pour l’instant, ce ne sont que des annonces. Mais il y a eu un énorme effet positif, je trouve, à ce sommet. C’est qu’on a parlé d’IA et que d’IA et sur toutes les antennes, sur tous les médias, pendant quasiment une semaine en France. Alors ça, il y a beaucoup de gens que ça a dû énerver. Parce que les gens ont leur vie quotidienne et ils se disent, mais l’IA, moi, je n’en ai rien à faire. je veux dire, c’est le cadet de mes soucis, etc. Mais c’est faux, c’est faux. L’IA, c’est super important. Alors, ça passe peut-être au-dessus de la tête de beaucoup de gens, mais c’était hyper bien parce que sur toutes les chaînes de télé, sur toutes les radios, tu avais de tout, des discussions un peu éthiques, sur l’éthique, sur les problèmes que ça peut poser. Mais il y avait aussi des reportages sur à quoi sert l’IA, comment est-ce qu’elle est utilisée pour aujourd’hui trouver plus facilement du travail, pour produire des contenus, etc. Donc c’était toutes les facettes de l’intelligence artificielle et il y a eu un énorme battage médiatique et je crois que c’est ça le principal bénéfice de ce sommet en fait.

Bruno :
[7:46] Et donc, l’IA s’en sort gagnant.

Jérôme :
[7:48] L’IA s’en sort gagnant, oui, parce que du coup, ça infuse un peu dans les esprits, si tu veux. Eh bien voilà, ça montre qu’il se passe des choses, il y a une grande cause. Tout le monde ne perçoit pas forcément les avantages, les inconvénients. Au contraire, ce qui revient très souvent, alors ça, c’est ce que je regrette, c’est que les médias ont beaucoup mis en avant les problèmes de l’intelligence artificielle, même pas les problèmes, les risques. Dès qu’il y avait une interview le président de la république l’interview d’Emmanuel Macron à la veille de l’ouverture, troisième question c’était allez paf bon alors tout le monde va perdre son emploi, on va plus du tout travailler pareil, il y a des métiers qui vont disparaître, mais oui il y a des choses qui sont vraies mais c’est très anxiogène tout ça et je trouve qu’on, par certains moments on parlait pas assez des bénéfices de l’intelligence artificielle.

Bruno :
[8:44] Dans ce temps-là, il faut le rappeler que ça a été la même chose quand l’Internet est arrivé, quand l’informatique est arrivé, quand la voiture est arrivée, quand l’électricité est arrivée. La lumière de Reverbère, il a perdu son boulot. Bon, en tout cas. Bref, c’est l’évolution de la technologie.

Bruno :
[9:00] Parallèlement, tu as fait allusion, puis je vais en parler parce que ça va probablement intéresser aussi mes auditeurs, tu as rencontré beaucoup de monde et de toutes ces rencontres-là, tu en as fait quelques entrevues, donc tu vas présenter dans mon numérique.

Jérôme :
[9:11] Oui, bien sûr. Alors là, pour tout te dire, je suis en plein montage parce que j’ai fait pas mal d’interviews, mais j’étais étonné. Vraiment, il y avait des gens intéressants. Non, mais j’étais étonné. Je veux dire, j’ai fait autant d’interviews presque qu’au CES de Las Vegas.

Jérôme :
[9:25] Donc effectivement j’ai rencontré par exemple le créateur de Perplexity qui est ce chatbot d’intelligence artificielle qui a une spécialité tu le sais comme moi qui se veut le chatbot le plus exact dans ses réponses parce que à chaque fois il donne les sources des informations qu’il donne et il essaye d’être vraiment très ancré sur l’actualité donc c’est Aravine Srinivas et c’est super intéressant j’ai discuté un peu avec lui il y avait également, chez Google en fait une conférence avec Demi Sassabis qui est le fondateur de Google DeepMind et donc là c’est l’occasion un peu de s’interroger sur vraiment de prendre un peu de hauteur en fait justement sur les perspectives de l’IA à la fois les bonnes choses et puis les dangers et puis j’ai rencontré aussi des gens qui font des initiatives par exemple pour aider les parents et les enseignants et même les responsables politiques à mieux aborder cette question-là avec les enfants.

Jérôme :
[10:25] Cette éternelle question des enfants et des écrans. À partir de quel âge on peut mettre des écrans entre les mains des enfants ? Qu’est-ce que ça peut leur apporter ? Mais aussi, quels sont les risques ? Et qu’est-ce que l’intelligence artificielle peut les… Donc, il y a des initiatives intéressantes. Il y a aussi des initiatives qui viennent d’Afrique pour traduire. J’ai pu tester une espèce de Tchadjipiti en langue, je crois que c’est du Congo, il me semble. Et donc, une traduction simultanée qui permet donc à des gens qui sont au fin fond du monde, dans leur campagne, d’accéder à de l’intelligence artificielle. C’est assez génial.

Bruno :
[11:04] Ben écoute, ça donc, ça va être dans l’émission de cette semaine.

Jérôme :
[11:06] Alors, j’espère qu’il y en aura au moins une partie dans cette semaine. Mais si je ne peux pas tout passer, je donne rendez-vous à tout le monde la semaine prochaine, la semaine d’après.

Bruno :
[11:14] Ça sent le best-of, ça, à un moment donné, quand ça va sortir.

Jérôme :
[11:17] Mon cher Bruno, et toi, de ton côté, quand même, la vie continue. Tu as suivi l’actu de près. Qu’est-ce que tu as retenu cette semaine?

Bruno :
[11:24] Écoute, plusieurs sujets, mais j’avoue qu’il y en a un qui t’a intéressé, je pense. Et cette nouvelle recherche qui a été faite au sujet de ChatGPT. Et c’est vraiment surprenant parce que personne avait ces données-là et là, il y a Epoch AI qui est une boîte à but non lucratif qui s’intéresse à l’évaluation, à l’analyse des performances des IA sous tous les angles et eux sont arrivés avec une recherche plutôt surprenante qu’ils ont publiée cette semaine en marge du sommet et ça nous apprend que.

Bruno :
[11:54] Et chat GPT, pour une requête simple, pas un document répété ou une grande analyse, et pour une requête simple à chat GPT, ça consomme dix fois moins que ce qu’on disait auparavant. Donc, bref, c’est l’équivalent d’une requête qui est faite sur Google. Ah, bien, c’est une bonne nouvelle. Évidemment, c’est surprenant. Bien, c’est une bonne nouvelle. Et d’autant plus que c’est une bonne nouvelle, parce que, puis ça, on l’a souvent abordé, Jérôme, toi et moi, c’est le fait que, puisque l’intelligence artificielle est devenue partout et que de plus en plus de gens l’utilisent, bien, de savoir que finalement, ça utilise moins d’énergie, sachant que tous ces parcs de données sont en train d’apparaître dans notre décor, on voit qu’il y a une importance qui est accordée à l’efficacité énergétique de ces systèmes-là. Et donc, c’est une bonne nouvelle. Et si ça vous intéresse, j’ai publié sur moncarnet.com un article complet avec un lien vers l’étude, évidemment, parce qu’il y a des gens qui veulent aller plus loin.

Bruno :
[12:46] Alors, ça ressemble à ça. Ça, ça fait partie de mon actualité. Sinon, pour faire un clin d’œil au sommet aussi, moi de Montréal, et je remercie d’ailleurs les organisateurs, il y a toutes les grandes plénières de la première journée qui étaient des discussions par rapport à l’IA dans le travail, l’IA responsable, tout ça, qui étaient diffusées sur Internet. Et donc, je me suis tapé quatre pannels d’environ 50 minutes. Mais c’était vraiment intéressant avec des intervenants dans ce parcours.

Jérôme :
[13:15] Parce que moi, je n’ai pas eu le temps de suivre, en fait.

Bruno :
[13:18] Parce que normalement, on n’a jamais le temps de faire quand on trouve ce genre de truc-là. Alors moi, tranquille, dans mon bureau, je suivais ça. Et j’ai fait quatre articles sur le sujet. Alors, si ça vous intéresse d’aller voir le résumé de qui dit quoi dans ce contexte-là. Et ça attire de tous les côtés. Mais c’est intéressant parce que c’est des réflexions sur différentes questions qui sont soulevées par l’IA.

Jérôme :
[13:38] Et Dieu sait qu’il y en a de ces questions. Donc, à nous deux, on a couvert ce sommet mondial de l’IA.

Bruno :
[13:46] Exactement. Toi de très près et moi de bien loin.

Jérôme :
[13:49] Mais c’est très compliqué.

Bruno :
[13:51] Je te laisse poursuivre avec tes auditeurs cette émission un peu particulière que tu proposes. Et puis moi, je vais poursuivre avec ma couverture du sommet. On reste à Paris. Je vais aller rejoindre Delphine Sabatier, qui, elle, va me parler du contre-sommet parce que ça avait lieu. Ce qui est intéressant, c’est que, puis tu le disais, on a parlé de beaucoup de choses dans le vrai sommet.

Jérôme :
[14:14] Oui.

Bruno :
[14:14] Sauf que la parole citoyenne, elle n’était pas là.

Jérôme :
[14:17] Non.

Bruno :
[14:18] Toutes les grandes organisations.

Jérôme :
[14:18] Elle était représentée, mais elle n’était pas… Oui.

Bruno :
[14:21] Mais on s’entend. Mais le monsieur, madame, tout le monde, il n’était pas là. Et les associations, ils n’étaient pas vraiment là. Alors, c’est l’occasion d’entendre leur discours et leur réaction. Et ça va de, je me pose beaucoup de questions, mais moi, je suis tout à fait contre l’IA, on ferme la boîte et on s’en va.

Jérôme :
[14:36] Oui, j’ai vu ça.

Bruno :
[14:38] Mais c’est intéressant.

Jérôme :
[14:39] Ça me fait beaucoup rire.

Bruno :
[14:41] Oui, je comprends. Mais c’est intéressant d’avoir ce discours-là. C’est important de laisser de la place, parce que ça nous permet d’avancer dans

Bruno :
[14:47] la réflexion et de nous conforter, qu’on soit d’un côté ou de l’autre. Et puis, donc ça, c’est avec Delphine que j’en parle tout de suite après toi. Et puis aussi, il y a l’angle canadien, l’angle québécois. Je pense que tu n’as pas assez pesé sur le fait que Justin Trudeau était là, qu’il était dithyrambique dans toutes ses présentations, ici et là, avec son ami Emmanuel. C’était formidable de les voir avant le sommet et pendant le sommet. C’était la bromance qui se poursuit. Alors, on est content de les voir. Donc, c’est ça. Alors, avec Anne-Henrienne, qui est Madame IA au niveau du gouvernement du Québec, qui, elle, était là justement pour différentes rencontres, avec notamment notre ami Joshua Benjou, qui était là aussi. Ça a fait une grosse présence québécoise, finalement, au CESC, cet événement-là. Donc, c’est que ça que je parle aussi un petit peu plus tard.

Jérôme :
[15:37] Écoute, super. Je renvoie mes auditeurs sur ton podcast et j’attends que les tiens viennent chez moi. Et ils sont allés bien prêts.

Bruno :
[15:44] Ben oui, je te les retourne tout de suite après. Allez, puis je te souhaite un bon montage parce que toi, c’est pas fini.

Jérôme :
[15:49] Non, on n’est pas couché. Salut Bruno, à la semaine prochaine.



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